
Photo © Daniel CASTETS - REGARDS DU SPORT - Pas de photo !
BAM HA TOUT PETA !
On va tout faire péter !
C’est la réflexion du Gascon en colère quand tout va mal.
Ca y est, le déclic s’est produit, la prise de conscience des photographes est en train de grossir, de grossir, de grossir ....
J’avais terminé la dernière Grenouille par:
« Plus généralement, j’assiste aujourd’hui au réveil des photographes de tous poils qui sont en train de se rendre compte (enfin) que la coupe est pleine ».
Par le passé il y a eu des combats de photographes « accompagnant » la chute des agences, les unes derrière les autres.
Des combats contre les licenciements, des combats pour l’indépendance du photographe, des combats pour la carte de presse, des combats pour les accréditations, des combats pour le droit à l’information, des combats ...
Des combats très spécifiques, très localisés.
Aujourd’hui c’est tout autre chose. Aujourd’hui c’est une révolte (attention, je n’ai pas dit révolution) qui est en train de se développer, d’une manière chaotique certes, mais réelle.
Ce qui est nouveau, remarquable et très important, c’est la jonction des deux courants de la photographie, le courant professionnel et le courant amateur.
Cette jonction se fait sur les forums, Twitter, Facebook, en dehors des structures existantes, vieillissantes diront certains.
Reste à savoir si les différentes organisations de photographes réagiront et sauront « prendre le train » pour participer à la bataille. Pour unifier, fédérer tout cela, pour en faire un mouvement puissant et efficace autour d’un programme pour la photographie et les photographes.
Il ne suffit plus de dire « nous soutenons ». Il faut coordonner, organiser, manifester et négocier.
Et parmi tous les verbes, celui qui manque cruellement aujourd’hui est « manifester ».
J’ai signé la pétition de l’UPP concernant fotolia/Hadopi, car je ne veux d’aucune façon minimiser la moindre initiative même si elle est insuffisante.
La moindre action, ne serait-ce qu’une pétition, engendre une réaction encore plus forte.
Il suffit de voir la réaction de Jean-Baptiste AVRIL qui trouve, avec juste raison, la pétition insuffisante, et qui nous pond une magnifique réaction qui, n’en doutons pas, renforcera le moral et la détermination des photographes pour aller plus loin.
Oui, les politiques se foutent royalement de la situation des photographes. La pétition n’est qu’un outil qui sert à informer et rassembler. Si elle ne servait qu’à cela, je la considèrerais comme une trahison et rien d’autre.
S’il suffisait d’avoir raison pour convaincre, cela se saurait. Et cela serait-il suffisant ?
Qui a dit :
« Internet, c'est une nouvelle frontière, un territoire à conquérir. Mais Internet ne doit pas être un Far West high tech, une zone de non-droit où des hors-la-loi peuvent piller sans réserve les créations, voire pire, en faire commerce sur le dos des artistes. On dit parfois que quand personne ne respecte la loi, c'est qu'il faut changer la loi. Sauf que si tout le monde tue son prochain, on ne va pas pour autant légaliser l’assassinat ».
Sur le fond comme sur la forme, on dirait de « La Grenouille », non ?
Calez bien votre petit cul au fond du fauteuil et agrippez fermement les accoudoirs.
Ces paroles ont été prononcées en 2007 par notre guide suprême, le Président Sarkozy.
C’est pourtant lui et ses copains qui nous ont assassinés pendant 4 ans.
Comment croire ce qu’ils nous disent en réunion, en délégation, dans les festivals ?
Nous avons affaire à des illusionnistes.
Et cela continue, ils viennent de créer un nouveau machin (encore un), le Conseil National du Numérique composé uniquement de grands patrons qui sévissent sur le net avec pour mission de conseiller le Gouvernement.
Avec ces mecs-là, on est sauvé !
Tout cela pour montrer que les photographes ont comme interlocuteurs des gens que l’on ne peut convaincre.
Face à ces gens-là, il n’y a qu’une seule méthode, le combat pour les contraindre.


QUAND LES DERNIERES AGENCES DONNENT
LE COUP DE GRACE.
Après le fameux concours photo de Terre sauvage qui s’octroie tous les droits (gratuitement) pour 2 ans.
Après le fameux contrat Milan/Bayard visant à exclure les photographes avec carte de presse des futurs contrats.
Voici le concours photo organisé par RTE (filiale d’EDF) réservé aux amateurs qui doivent céder leurs droits, gratuitement, à l’organisateur pour 2 ans.
Tout cela en quelques jours.
Ils se sont donné les mots ma parole, il y en a 3 qui reviennent sans cesse:
amateur, gratuit, 2 ans.
Tout le reste n’existe pas et surtout pas les auteurs photographes avec ou sans carte de presse.
L’élément nouveau c’est la participation des agences photographiques à cet assassinat (pourtant interdit par le guide en 2007).
Faut-il que ces agences soient tombées bien bas pour apporter leur caution à ce concours photographique réservé aux amateurs.
Se rendent-elles compte du préjudice qu’elles vont porter aux photographes qui déposent chez elles mais aussi à tous les auteurs photographes qui vendent à EDF ?
Oui, elles s’en rendent compte, elles le font sciemment.
Ayant commencé ma carrière comme chimiste dans le nucléaire à EDF, je connais sa puissance financière.
EDF a les moyens d’acheter les photos aux professionnels. Les économies réalisées représentent (à la louche) 1/1000 de seconde de production d’électricité par an.
Il s’agit donc d’une volonté politique et non d’une nécessité financière pour équilibrer les comptes.
Il s’agit là aussi d’un acte conscient, voulu, calculé.
Et que R.É.A, Sipa-Press, MaxPPP, les RENCONTRES D’ARLES et actuphoto participent à la curée, m’arrache les tripes.
Une image me saute aux yeux:
Celle du milicien français qui donne le coup de grâce aux résistants français, exécutés par le peloton allemand, pour être certain qu’il n’y aura pas de survivant capable de le reconnaître.
Et n’essayez pas de me dire que j’exagère. Je ne suis pas responsable de mon inconscient (et vous non plus).
Je ne vais pas vous mentir, je porte un héritage, j’écris cela tout a fait consciemment.
;-)


Photo © Daniel CASTETS - REGARDS DU SPORT - LA DEPECHE à la palombière.
CANTERO A PAYÉ !
J’étais à la palombière quand Jacky m’a téléphoné de Toulouse.
- Tu as lu LA DEPECHE de ce matin, l’ami Cantero a payé les photographes.
- ???? non, sans dec !
- Si si, il ne s’est pas ruiné, 200€ par photographe ça fait en tout 2000€ pour un budget de 180.000€.
On voudrait quand même arroser ça avec toi, tu n’es qu’à une heure de chez nous par l’autoroute.
- Si tu connaissais le menu de midi, tu n’oserais pas me demander ça ...... Les 178.000 qui restent il a dit où ils sont passés ?
- « Voilà une idée qu’elle est bonne », il y a de nos impôts dans le financement de ce truc, il serait donc normal que les Toulousains demandent des comptes.
- Peut-être que LA DEPECHE, mon journal préféré au fond des bois, pourrait le savoir, elle y a mis des sous, non ?
Cette petite victoire, fruit de la détermination de Gérard Vandystadt mais aussi grâce au relais des photographes amateurs sur Facebook et Twitter, en appelle d’autres.
Que va faire Jean-François LEROY à VISA POUR L’IMAGE ?
Va-t’il s’illustrer ou va-t’il regarder passer le train de l’histoire ?


Photo © Daniel CASTETS - REGARDS DU SPORT - Elle a 5 ans et un reflex numérique.
AMATEURS, PROFESSIONNELS, MÊME COMBAT .
En Novembre 2007, j’avais « parlé » de la notion amateur/professionnel.
Je n’ai rien à changer à ce que je disais voilà 4 ans, sinon qu’à l’époque nous étions à 20 € la photo alors qu’aujourd’hui nous en sommes à 14 cts, dans le meilleur des cas et jusqu’à la photo volée par des grands médias.
Je vous invite à consacrer cinq minutes (pas plus, juré) à lire cette Grenouille.
Ne me dites pas que vous l’avez déjà lue. En 2007, vous étiez 25 à lire La Grenouille chaque jour, alors qu’aujourd’hui vous êtes 2500. Il y en a donc 2475 qui ne l’ont pas lue.
C’est ici.
Les auteurs photographes, combien de divisions ?
En fait tout est là. Nous sommes 2000 soit 20 par départements. Sachant qu’il y a une forte concentration en Région Parisienne, il est facile d’en conclure que nous sommes absents de certains départements.
Donc le poids, en nombre de bulletins de vote, des auteurs photographes est quasiment nul auprès des élus.
Pourtant leur poids politique par ce qu’ils « disent » et de ce qu’ils révèlent est énorme. Une photo peut « tuer ».
Les auteurs photographes montrent le « bien » et le « mal », le bon et le mauvais. Cela peut être positif, cela peut être négatif pour ceux qui figurent sur les photos.
Quoi qu’il en soit, les auteurs photographes avec ou sans carte de presse sont des témoins, des révélateurs de la vie des hommes sur la planète, des acteurs indispensables à la démocratie.
Aujourd’hui ils sont en train de disparaître car le produit qu’ils « fabriquent », les photos, n’ont plus de valeur marchande aux yeux de la grande majorité des diffuseurs.
Il y a profusion de photographies gratuites produites par des millions de photographes amateurs qui ne réclament pas de rémunération, se contentant de paraître, d’apparaître sur les écrans d’ordinateur. Tout cela n’étant possible que par l’existence d’Internet qui rend tout cela techniquement et économiquement facile.
Pour 1 photographe professionnel qui crève la dalle, il y a 250 amateurs qui gagnent des clopinettes.
Plus de 500.000 reflex numériques vendus en France en 2009 comparés aux 2000 auteurs photographes indépendants.
On comprend pourquoi les fabricants de matériel sponsorisent à tout va les expos, les festivals, les concours en direction des amateurs:
« Vous aussi soyez des pros, achetez du matos comme les pros et vendez sur flickr et fotolia».
Cela s’appelle vendre du rêve. Mais le rêve va se volatiliser si les pros disparaissent.
Les photographes pros ne comptent que pour 0,5% du marché, alors .......pourquoi dépenser pour si peu ?
Certains photographes professionnels considèrent les amateurs comme étant la source de leur misère.
A bien y regarder, certains professionnels ont participé à leur propre déchéance en utilisant eux aussi flickr et fotolia et en y déposant leurs photos pensant que vendre 20 € au monde entier c’était mieux que 100 € sur le marché français. Mais 20 €, c’est 140 fois plus cher que les 14cts de fotolia. Et bien entendu à 14 cts personne ne peut vivre de son métier de photographe.
La cataclysme est tel que Sipa-Press va être vendue dans les jours prochains (et on sait ce que cela veut dire) et que l’agence Angeli, le number one du people en Europe, vient de déposer le bilan. Gamma-Rapho (toujours en déficit) ne doit sa survie qu’à Getty qui ne va pas tarder à gober tout ça).
De toute façon la tornade est passée, elle a tout emporté et il ne sert à pas grand-chose de porter l’opprobre sur les amateurs qui n’ont pas vu la manoeuvre des Getty, Corbis. Les deux monstres se sont approprié la planète photographique avec l’aide des banques et des fonds de pension américains et bien entendu la complicité du Gouvernent français. Cela bien entendu au bénéfice des diffuseurs français qui ont divisé pas 100 leur budget photo. Et malgré cela ils sont toujours en déficit. Ce qui démontre que le problème fondamental n’est pas la photo, mais le contenu rédactionnel.
Le résultat désolant que nous constatons tous n’est pas non plus le fait inéluctable de la mondialisation et de la révolution technologique, c’est l’aboutissement d’un plan minutieusement préparé par des financiers qui ont sauté sur l’outil Internet pour acheter un produit à 0 (zéro) centime, le revendre 14 et en rétrocéder ensuite 2 à l’auteur de la photo. Bénef de 12 cts par photo.
A la différence d’un industriel qui achète la matière première, puis la transforme pour enfin la commercialiser, le banquier qui possède le microstock ne paye ni la matière première ni sa transformation car c’est l’amateur photographe qui fait tout le boulot gratuitement. Il ne reste plus qu’à empocher le fric.
Rappelons-nous que le père Getty avait déclaré que le « droit d’auteur sera l’or noir du 21eme siècle ».
La concurrence complètement faussée:
Les « européistes » nous cassent les c.. , pardon les pieds, avec la concurrence libre et non faussée instaurée à Bruxelles par les partis de droites et sociaux démocrates au travers du traité de Maastricht confirmé par celui de Lisbonne.
Enfin, c’est ce qu’ils disent car en même temps ils prennent des mesures pour fausser la concurrence en favorisant les microstocks, en interdisant les organismes de régulation des prix (art 2 et 3 de la ppl 441). C’est ici.
La concurrence libre et non faussée entre pros et amateurs à 14cts d’€ n’a rien à voir avec la concurrence libre et non faussée à 140 € la photo.
A 14cts la concurrence est faussée tout simplement parce qu’un professionnel qui vend à 14 cts explose en plein vol.
Un professionnel à 14 cts, ça n’existe pas. Ca n’existe plus.
La libre concurrence à 14 cts relève du crime organisé. C’est le but premier des microstocks, tuer les professionnels et leurs agences.
La libre concurrence à 140 € la photo permet à l’amateur de faire des photos et de les vendre en respectant le CPI et le code des impôts.
La libre concurrence à 140 € la photo permet au professionnel de faire des photos et de les vendre en respectant le CPI et le code des impôts mais aussi d’en vivre et de faire vivre sa famille.
A 140 € la photo retrouve sa valeur et son pouvoir d’attraction car pourquoi acheter une photo banale quand on peut acheter une belle photo au même prix.
La qualité de la photo redevient l’élément déterminant du choix et l’activité professionnelle redevient possible car rentable.
On en revient donc au prix du droit d’auteur à l’interdiction du DR et à la PPL 441.
On en revient donc à l’application de la loi (CPI et Code du Commerce).
Unifier tous les auteurs photographes:
La différence fondamentale entre un photographe amateur et un photographe professionnel n’est pas la capacité technique ou artistique de faire une belle photo, c’est d’en faire régulièrement et en quantité.
C’est la capacité à faire un reportage en étant soumis à des impératifs stressants pour le professionnel alors que l’amateur fera des photos occasionnellement en dilettante.
« Il faut une grande sérénité pour faire un grande photo »(La Grenouille).
Cette sérénité est plus facilement atteignable quand on est sûr d’avoir de quoi manger.
Quelle différence fondamentale entre un auteur photographe professionnel qui claque du bec en vendant pour 10.000 € de droits d’auteurs par an, obligé de trouver un métier de complément déclaré ou pas, pour nourrir sa famille, et un amateur qui lui a déjà un métier et qui vend de temps en temps quelques centaines d’Euros de belles photos animalières ou de vacances ?
Fondamentalement rien ne les sépare sinon le montant des droits vendus (et encore ... ); à la condition bien entendu que tous respectent le CPI et le code des impôts.
Ils ont donc des intérêts communs à défendre et on les défend plus efficacement à 502.000 qu’à 2000.
Les amateurs comme les professionnels doivent céder leurs droits d’auteurs au même prix, c’est la seule solution pour que tout le monde s’y retrouve.
L’affaire du concours scandaleux organisé par Terre Sauvage a provoqué un événement capital dans le monde de la photographie à savoir l’alliance des professionnels et des amateurs.
Même si cela ne s’est pas conclu positivement, il n’en demeure pas moins que la prise de conscience est réelle. Dommage qu’il n’y eût aucune organisation pour organiser et négocier valablement.
Ces 500 signatures à propos de ce concours photo de Terre Sauvage pourrait se prolonger par l’élaboration d’un label donné par les photographes aux organisateurs respectueux du CPI et donc des intérêts des photographes qu’ils soient professionnels ou amateurs. Ces derniers (pros et amateurs) devraient construire un règlement type, bien entendu adaptable par l’organisateur du concours.
Tout cela est facilement réalisable, il suffit que 2 ou 3 ténors qui ont animé les forums s’y collent.
Il faut arrêter les conneries:
Les photographes professionnels ont cru (et certains croient encore) qu’en bâtissant un mur pour se protéger des amateurs ils arriveraient à sauver leur peau. Les faits montrent que cela est un échec.
Je pense depuis longtemps que si l’on considère la photographie comme une oeuvre de création, comme un art, il ne peut y avoir de barrière protectrice et que seul le dialogue peut faire évoluer les mentalités.
Oui les photographes amateurs prennent conscience du rôle déterminant qu’ils peuvent jouer dans la sauvegarde de la photographie et des photographes auteurs, car professionnels et amateurs sont des auteurs, des créateurs.
Aujourd’hui, je suis convaincu que ce sont les photographes amateurs qui sauveront le CPI à condition que les photographes professionnels créent les conditions de leur action.
Qui osera ?
- Les syndicats de journalistes n’ont pas bougé le petit doigt pour défendre les leurs, interdits de travail par Getty et l’AFP à Roland-Garros et ailleurs.
- l’Union des Photographes Créateurs s’est professionnalisée en Union des Photographes Professionnels. Elle a troqué le Créateur pour le Professionnel, comme pour « éloigner le malin ».
l’UPP fait de bonnes analyses, un très bon travail juridique, fais signer des pétitions et puis stop, on s’arrête là. Pourquoi ?
- Photographes Auteurs Journalistes vient de naître. Sera-t’elle à l’initiative ? Portera-t’elle les espoirs de tous les photographes déçus par le manque de combativité des uns et des autres ?
Je le souhaite.
Osera-t’elle fédérer les photographes professionnels et les photographes amateurs qui respectent et appliquent le CPI et le Code des impôts?
Pour ce qui me concerne, je ne vois pas la création de PAJ comme une entreprise de division, une association de plus qui va bouffer la laine sur le dos des autres, mais au contraire un « syndicat » qui rassemble les orphelins désireux d’en découdre afin de défendre leurs intérêts, et cela non pas contre mais avec l’UPP et tous ceux qui le veulent.
Si vous pensez comme La Grenouille, n’hésitez pas à le dire.
Si vous pensez qu’elle déc .. déraille, n’hésitez pas à le dire aussi.
;-)

On fait ce qu’on peut !
Je n’ai plus vingt ans, je ne suis plus aussi véloce et je m’astreins tous les après-midi à une petite sieste pour entretenir ma condition physique.
J’ai donc un peu moins de temps à consacrer à la réponse de vos mails, de plus en plus nombreux. J’ai pourtant bien pris soin de rester discret.
Tout cela me désole, me stresse, et m’oblige à prolonger l’entraînement quotidien. Evidemment cela me retarde encore davantage et cela me désole encore plus .....
Bon, je vais m’y mettre un bon coup :
« zzzzz »
Une satisfaction néanmoins, La Grenouille fait des têtards. Les photographes professionnels se mettent à écrire, à protester sur leur blog (ils ont de plus en plus de temps) élargissant ainsi le champ de bataille. Je vais peut-être prendre le temps de faire quelques photos, sereinement.
Au fait:
Non seulement la terre est basse mais en plus c’est du béton. Mon épouse s’est cassé les reins à vouloir retourner la terre, en vain.
J’ai donc décidé que cette année je ne planterai pas de tomates.
:-(
A bientôt
Daniel