Nouvelle page d’accueil du site Megaupload le 21/01/2012.
Traduction (esprit):
« Ce Nom de domaine sous le nom de Megaupload.com a été saisi après un jugement rendu par un tribunal de District des Etats-Unis.
Un grand jury fédéral a condamné plusieurs personnes et entités impliquées dans les opérations de Magaupload.com et les sites web y afférents les condamnant aux crimes fédéraux suivants : conspiration dans le but de commettre des rackets, conspiration pour commettre des infractions au "copyright" (droit d'auteur), conspiration pour le blanchiment d'argent, et infractions criminelles au "copyright" (droit d'auteur)."
BARAK OBAMA ENVOIE LA CAVALERIE !
Le FBI, vous connaissez. On ne voit que lui tous les soirs à la TV.
Donc la Police Fédérale des USA a « détruit » le serveur de Megaupload et a arrêté les principaux responsables de l’entreprise dans plusieurs pays et notamment en Nouvelle-Zélande. Comme d’habitude nos grands journalistes n’ont fait que reprendre les communiqué du FBI et celui de notre Guide, Nicolas Sarkozy qui s’est roulé par terre de plaisir en qualifiant l’activité du site de criminelle. Rien que ça. Etant avocat il devrait savoir qu’en France, la contrefaçon n’est pas un crime mais un délit.
Motif de cette démarche pour le moins brutale et soudaine:
« Infraction au droit d’auteur ».
Pas d’enquête sur le sujet de la part des grands médias, visant à éclairer le grand public sur ce qu’est exactement Megaupload. Ils n’ont fait que justifier l’action des Américains.
Megaupload, c’est quoi ?
Sur la forme, Megaupload est un serveur permettant à chaque internaute de déposer (upload) ou de récupérer (download) des fichiers numériques de toutes sortes (photos, vidéos, musique, etc ...) et cela gratuitement.
- Un serveur permettant à des particuliers mais aussi à des entreprises de sauvegarder en temps réel leur travail quotidien et cela moyennant finance.
Donc Megaupload se comporte en magasin de dépôt ou chacun met ce qu’il veut et ou chacun prend ce qu’il veut, gratuitement ou en payant.
En fait Megaupload n’est qu’un hébergeur comme OVH, Orange, Free ou Apple ou d’autres, mettant à disposition un espace disque dont chacun peut user à sa guise.
Les services gratuits Megaupload sont rémunérés par la PUB qui est énorme compte tenu de la fréquentation du site (45 millions de visiteurs uniques/jour).
Sur le fond, c’est d’abord la conséquence de l’interdiction du « Peer to Peer ».
Rappelons que le Peer to Peer est une manière de transférer des fichiers numériques (musique, photos, textes, logiciels, etc ...) de l’ordinateur d’un particulier à un autre ordinateur de particulier en utilisant un logiciel gratuit fait pour cela (LimeWire, aMule, etc ..).
Cette interdiction faite par la création d’organismes tels que l’HADOPI en France, n’a eu aucun effet quant à la diminution des téléchargements. Au contraire, les internautes ont simplement changé de méthodes en utilisant des serveurs tels que Megaupload, Rapidshare, Hotfile, etc ...
Ce changement de méthode a provoqué une augmentation considérable des échanges de fichiers car des « tuyaux » beaucoup plus gros - professionnels - sont utilisés. En fait avec ces serveurs, on est passé de l’artisanat à l’industriel.
« Les cons » diront certains. En fait non.
Ceux qui lisent La Grenouille savent depuis toujours que le Gouvernement et les parlementaires qui ont créé l’HADOPI étaient parfaitement conscients que cette structure était complètement inefficace pour combattre le Peer to Peer; qu’il ne s’agissait que d’un prétexte pour créer une structure visant à contrôler les tuyaux d’internet aujourd’hui utilisés par les accros de la démocratie dont le but est de concurrencer les grands médias qui formatent les cerveaux des citoyens.
Vous le savez, les Américains n’ont jamais fait dans la dentelle. Ils mettent le paquet. Le marteau-pilon pour écraser une mouche. Il procédaient déjà comme cela en 44 lorsqu’ils voulaient détruire un pont. La ville était rasée et le pont toujours debout. Même chose au Vietnam ou en Irak ou en Afghanistan. On a vu et on voit encore le résultat.
Résultat des courses, plusieurs milliers d’entreprises dans l’incapacité de récupérer leur travail ou leur sauvegarde alors qu’ils payent les services de Mégaupload.
Plusieurs d’entre elles ont aussitôt porté plainte contre le FBI.
Les 50 Millions de clients quotidiens de Megaupload ont tout simplement migré ailleurs, sur les autres serveurs qui offrent les mêmes services. Certains ont repris le Peer to Peer, convaincus avec juste raison que l’HADOPI et autres officines analogues sont incapables de les débusquer et donc de les empêcher de « nuire ». Notons que selon une récente étude américaine, ces internautes qualifiés de criminels sont les plus gros acheteurs de musique et de film et cela en toute légalité.
Donc le gentil Barak Obama, Président de la plus grande démocratie du monde (ce n’est pas moi qui le dit, ce sont nos fieres pompom-girls), a sifflé la fin de la récré en envoyant la cavalerie massacrer les indiens.
Le vol du droit d’auteur ça suffit !
Et fotolia, il volerait pas un peu, beaucoup, les droits d’auteurs des photographes français ?
Hein ?
Alors, cher Barak, tu pourrais pas envoyer le FBI faire sauter le serveur de fotolia ?
Je ne me fais pas beaucoup d’illusion sur la réponse. Là, il s’agit d’une grosse boite qui respecte le droit américain, donc « touchez pas au grisbi » !
Quant au droit français .....
Les Anonymous, vous en avez certainement entendu parler ?Un site où vous apprendrez beaucoup sur Internet.
Ces internautes qui ne supportent pas que quiconque, fût-il président de « la plus grande démocratie du monde » touche au réseau Internet, seul espace de liberté capable de fomenter des révolutions dans maints endroits de la planète, de chasser des dictateurs, de prouver que Poutine a bourré les urnes pour que personne ne voie que le Parti Communiste de Russie était passé en tête lui barrant ainsi le chemin de la présidence. Ce réseau Internet, aujourd’hui seul contre-pouvoir aux médias obéissants, aux ordres des banques, des industriels et des marchands d’armes.
C’est pour porter secours à tous ceux-là que Barak Obama a envoyé la cavalerie.
C’est contre Barak Obama que les Anonymous ont bloqué les sites Internet de la Maison Blanche et des ministères américains.
C’est contre Nicolas Sarkozy que les Anonymous ont piraté l’Elysée, les ministères et bien entendu l’Hadopi.
La même semaine au Japon, l’Union Européenne signait dans le plus grand secret son accord avec le traité ACTA.
Oui, je sais, vous ne savez pas ce que c’est, sauf si vous avez lu la Grenouille de Mars 2010.
Ils ont bien calculé leur coup mais les Anonymous, là aussi, veillent au grain.
Ils pensaient que le coup de Megaupload masquerait la signature secrète au Japon. Raté.
Raté grâce à Internet.
Cet accord secret a été tellement magouillé que Kader ARIF, rapporteur français au Parlement Européen a donné sa démission. Oui, je sais, vous ne le savez pas non plus.
Saviez-vous aussi que le Premier Ministre polonais a indiqué qu’il refusait de parapher le traité ACTA lors du vote au Parlement Européen eu égard aux manifestations de la jeunesse polonaise opposée à ACTA qui constitue une remise en cause des libertés publiques et individuelles ?
Et la jeunesse française alors, qu’est-ce qu’elle fout ?
Rien, pour la seule bonne raison que nos grands journalistes à furoncles fessiers ont décidé de garder le secret sur ACTA.
On peut mesurer de quelle façon ils vont nous concocter (ils nous concoctent déjà) leur propagande pour les prochaines élections présidentielles.
LA CCIJP COMMENCE A SE POSER LES BONNES QUESTIONS ....
Jusqu’à aujourd’hui le seul motif pour perdre sa carte de presse était de ne plus avoir suffisamment de revenus provenant de ventes d’articles ou de photographies à la presse.
Les photographes indépendants en savent quelque chose. Eux dont le nombre diminue chaque année au point qu’ils vont disparaître complètement à brève échéance, ce dont tout le monde se fout.
Seuls les salariés continuent à avoir leur carte. Le seul problème est qu’ils ne sont maîtres, ni de leur reportage ni du choix photographique et encore moins de la publication. Ou ils obéissent comme des petits soldats, ou ils prennent la lourde.
En résumé, ils sont comme tous les salariés, aux ordres de l’employeur.
Tout ça pour dire que suite aux bidonnages du Petit Journal de Canal+, notamment concernant Jean-Luc Mélenchon et Nicolas Dupont-Aignan, le Président de la Commission de la Carte d’Identité des Journalistes Professionnels, Eric Marquis, commence à se poser les bonnes questions sur les « pompom-girls du capitalisme » (C’est ainsi que l’historien-journaliste américain Eric Alterman qualifie les journalistes de complaisance).
«Nous avons reçu leur demande de renouvellement de carte de presse, mais nous ne l'avons pas encore examinée.
A titre personnel, je pense que la question de ce renouvellement peut se poser......
En tant que membre du SNJ je suis assez réservé sur le mélange des genres, assez réticent au concept «d’infotainment» (information-divertissement)......
Ce doute sur le renouvellement de la carte de presse ne concerne pas que le Petit journal ; nous avons une liste de 50 émissions de la TNT au sujet desquelles on se pose la question».
En effet il serait temps que les titulaires de la carte de presse respectent la charte du journaliste.
Il serait temps que la CCIJP la fasse respecter. On peut rêver, non ?
Ci-dessous la charte du journaliste affichée à tous les étages du CFJ:
« Un journaliste digne de ce nom :
- Prend la responsabilité de toutes ses productions professionnelles, mêmes anonymes ;
- Respecte la dignité des personnes et la présomption d’innocence ;
- Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique ; tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération des documents, la déformation des faits, le détournement d’images, le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelles ;
- Exerce la plus grande vigilance avant de diffuser des informations d’où qu’elles viennent ;
- Dispose d’un droit de suite, qui est aussi un devoir, sur les informations qu’il diffuse et fait en sorte de rectifier rapidement toute information diffusée qui se révèlerait inexacte ;
- N’accepte en matière de déontologie et d’honneur professionnel que la juridiction de ses pairs ; répond devant la justice des délits prévus par la loi ;
- Défend la liberté d’expression, d’opinion, de l’information, du commentaire et de la critique ;
- Proscrit tout moyen déloyal et vénal pour obtenir une information. Dans le cas où sa sécurité, celle de ses sources ou la gravité des faits l’obligent à taire sa qualité de journaliste, il prévient sa hiérarchie et en donne dès que possible explication au public ;
- Ne touche pas d’argent dans un service public, une institution ou une entreprise privée où sa qualité de journaliste, ses influences, ses relations seraient susceptibles d’être exploitées ;
- N’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
- Refuse et combat, comme contraire à son éthique professionnelle, toute confusion entre journalisme et communication ;
- Cite les confrères dont il utilise le travail, ne commet aucun plagiat ;
- Ne sollicite pas la place d’un confrère en offrant de travailler à des conditions inférieures ;
- Garde le secret professionnel et protège les sources de ses informations ;
- Ne confond pas son rôle avec celui du policier ou du juge.
Il y en a beaucoup qui devraient la relire tous les matins avant d’aller au boulot.
Et quand on connaît les revenus de certains à un million d’Euros annuel pour présenter le JT...... on reste dubitatif sur le respect de la charte du journaliste.
Une petite vidéo tournée au CFJ qui traite des rapports entre les journalistes et les politiques. Entretien entre les étudiants journalistes du CFJ et Jean Luc Mélenchon.
Tout y est .
Initiative remarquable de la part du CFJ.
Photos Fuji: Le Fuji X Pro 1
FUJI A L’ECOUTE DES PHOTOGRAPHES PROS
Il y en a un qui a compris, c’est Fuji.
Il a compris que les photographes professionnels n’ont plus les moyens de se payer un Leica M9 et les 3 ou 4 objectifs qui vont avec.
Sans compter un boîtier de secours indispensable pour parer à tous les coups durs.
Le X100 à 1000 € s’est vendu comme des petits pains grâce à l’excellente qualité du fichier, au look du boîtier, à sa portabilité et à son prix.
Ça fait quand même cher le pare-soleil et la sacoche. C’est vrai que la peinture noire .....est hors de prix.
;-)
Attention de nous prendre pour ce que nous ne sommes pas, des riches.
Le vent pourrait tourner.
Donc forte de son succès mais aussi de l’expérience acquise, Fuji annonce pour la fin du mois de Février un compact à objectifs interchangeables, le XPro 1.
Il sera, à la louche 10% plus gros que le X100.
Les dimensions du capteur sont identiques, mais la technologie a évolué. C’était déjà excellent, je me demande ce que cela va donner avec ce nouveau capteur de 16 millions de pixels (48 Mo en JPEG direct). Le X100 ne fait que 12 millions.
Pour plus de détails, c’est ici.
Fuji, sans le dire, a la prétention de faire mieux que le Leica M9, ce qui est logique compte tenu de l’amélioration permanente de la technologie des capteurs.
Par la même occasion il coupe l’herbe sous les pieds à Nikon et Canon qui sont restés bien au chaud avec des compacts, certes bien compacts mais dont la qualité du fichier est à la traîne (c’est peu dire) comparée à celle du X100.
Ce qui est drôle c’est que les deux compères (Fuji et Leica) ont été partenaires dès le début du numérique. En effet le premier Leica numérique, le DIGILUX a été fabriqué (en série très limitée) au Japon par Fuji voila 15 ans. Il faisait 1,5 millions de pixels.
Le mien fonctionne toujours.
Eh oui, je fais partie de la race des fêlés.
;-)
Fuji s’attaque à un mythe, celui du Leica M.
Leica a toujours été synonyme d’excellence pour les vieux photographes. Les optiques Leica ont toujours été la référence du temps de l’argentique où tout le monde utilisait les mêmes pellicules. Aujourd’hui la qualité de l’optique est une condition indispensable pour fabriquer un beau fichier, mais pas suffisante. Le capteur est, avec l’informatique embarquée, l’autre condition sans laquelle on ne peut prétendre faire un beau fichier. Et là, Fuji a une longue expérience et une référence à savoir, le X100.
De fait, Fuji attaque frontalement le Leica M9 qui coûte quatre fois plus cher, sans parler des optiques, dans la même proportion.
Le XPro 1 est livré, dans un premier temps avec 3 optiques de course:
- Un 2 - 18 (27 mm)
- Un 1,4 - 35 (53 mm)
- Un 2,4 - 60 ( 91 mm) Macro
Tout cela pour fin Février (sous réserve).
Mais ce n’est pas tout !
En 2013 Fuji va livrer 9 autres objectifs dont 3 zooms.
Mais ce n’est pas tout !
On pourra utiliser les optiques M de Leica.
J’en connais qui doivent faire la gueule du côté de Wetzlar !
Décidément ces Japonais sont étonnants. Plus il leur arrive de malheur, plus ils innovent.
Peut-être que si on avait un empereur chez nous ...
:-))
Vous trouverez tout cela chez Objectif Bastille
ABRACADABRA .....ET HOP PLUS DE DETTE !
Nos grands journalistes font semblant de se lamenter parce que les Français bouderaient la politique.
Vos réactions prouvent le contraire.
Vous avez adoré la petite vidéo du trader Alessandro Rastani.
Je n’ai reçu que des remarques sur ce sujet.
Il y en a même qui ont trouvé le moyen de m’écrire sur du papier avec un stylo et d’envoyer le tout dans une enveloppe à mon domicile; comme autrefois.
« J’y crois pas ! »
Eric, photographe dans la dèche, m’a envoyé la petite histoire ci-dessous qui mérite d’être lue attentivement car elle explique comment régler le problème de la dette avec une limpidité déconcertante. Mon prof d’économie, Paul BOCCARA m’avait expliqué cela voilà une quarantaine d’années.
Surtout lisez cela et faites-le lire à vos enfants, vos amis; ils comprendront.
Une journée maussade dans un petit bourg humide au fond de la verte Irlande. Il tombe une pluie battante et les rues sont abandonnées. Les temps sont durs : tout le monde est endetté, tout le monde vit à crédit.
- Arrive un touriste allemand, riche. Il arrête sa belle voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre.
Il pose un billet de 100 € sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d'en choisir une pour la nuit. Le propriétaire de l'établissement lui donne les clés et lui dit de choisir celle qu'il veut.
- Dès que le touriste monte l'escalier, l'hôtelier prend le billet de 100 €, file chez le charcutier voisin et règle sa dette envers celui-ci.
- Le charcutier, qui doit de l'argent à un éleveur de porcs, se rend immédiatement chez ce dernier et lui donne le billet de 100 €.
- L’éleveur de porcs, à son tour, règle ses dettes envers la coopérative agricole où il achète ses fournitures.
- Le directeur de la coopérative court aussitôt jusqu'au pub pour régler son ardoise au patron du bar.
- Le patron du bar, glisse alors le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis des semaines.
- Celle-ci, qui utilise l'hôtel proche, professionnellement, court régler son compte avec l'hôtelier.
- L’hôtelier pose le billet de 100 € sur le comptoir où le touriste allemand l'avait posé en arrivant.
- Au même moment, le touriste descend l'escalier, annonce qu'il ne trouve pas les chambres à son goût, ramasse son billet et s'en va.
Personne n'a rien produit, personne n'a rien gagné, mais personne n'est plus endetté et le futur semble beaucoup plus prometteur.
C’est génial, non ?
Commentaire:
Si on remplace le touriste allemand par la BCE qui prête gratuitement l’argent (qu’elle fabrique) à la Grèce, à l’Espagne, au Portugal, etc ...l’affaire est torchée.
La Grèce et l'Europe sont sauvées.
Oui mais voilà, si vous mettez un banquier ou un spéculateur dans le circuit de l’hôtelier décrit plus haut, c’est la m...e et tout tombe à l’eau.
Le banquier, où son employé trader veulent prendre (voler) du fric au passage. Pour cela il bloque le circuit et dit:
« Ok je laisse passer le billet à condition que tu me donnes 10% ».
Et celui qui a donné 10% va en réclamer au moins 10 au suivant pour récupérer sa mise et même 11% pour lui aussi faire son petit pécule sans rien faire.
- « Pourquoi me priverais-je si les autres le font ? »
- « Et si les autres sont déjà riches pourquoi moi qui ne le suis pas ne pourrais-je le devenir ? »
Et au bout du bout du compte, il y en a un qui prendra le fusil.
Et au bout du bout du compte, il y a un peuple qui prendra le fusil.
Et pourtant il en dit long sur la manière dont nous sommes tous intoxiqués par la poignée de journalistes et d’experts qui sévissent 7/7 et 24/24.
Bien entendu ce film de 1h44 qui assassine la TV publique et privée, a été exclu du circuit normal des films.
Vous en saurez plus ici
;-)